Basque dans une série-pour-adolescentes-culcul-mais-où-y-a-des-beaux-mecs j’ai flashé sur cette robe :

Composition1

Basque je venais d’accoucher et que dans le burda d’août 2012, y’avait écrit ça :

Composition2“Le top à basque peut dissimuler un petit ventre”

Basque je suis enrhubée (non rien à voir)…

J’ai décidé que pour le mariage de mon frère j’aurai une robe à basque. Et puis pas qu’une seule, non. Trois basques, comme la nana dans la série-pour-adolescentes-culcul-mais-où-y-a-des-beaux-mecs (allez faites pas les innocentes, je suis sûre que vous la regardez aussi cette série-pour-adolescentes-culcul-mais-où-y-a-des-beaux-mecs).

Je n’avais de patron comme d’hab’ mais cette fois j’ai pas trop bidouillé – bon un peu quand même – j’ai repris le patron d’une de mes robes et j’ai rajouté les basques du top de Burda. J’ai même fait les choses bien, j’ai d’abord fait une version dans un tissu qui ne vaut rien pour ne pas me louper. Enfin c’est surtout que découper au pifomètre dans mon tissu à 30 €/m, fallait pas se louper quoi. Et puis je n’avais qu’un seul mètre de liberty – et les basques ça bouffe du tissu (sortie de son contexte cette phrase est bizarre) – donc pas le droit à l’erreur !

Allez place aux photos. Je vous avais déjà montré celle-là :

P1110355_blogBon oui 2 fois déjà mais je l’aime bien, elle est artistique.

Il s’agissait donc des fameuses basques (quel suspens vous en conviendrez, vous vous étiez imaginé quoi ?)

P1110372_blog

P1110373_blog P1110403_blog

Vous avez toutes reconnu le sublissime liberty Pamela Judith (Couture et Cie). Je l’aime je l’aime celui-là, on dirait de la soie japonaise.

Impossible de rendre hommage à la véritable couleur de cette robe, en vrai elle est plus vert émeraude que bleu canard…(satin de polyester de chez Natacha Tissus, le fameux à 30 €/m)

P1110412_blog P1110411_blog

 P1110413_blog P1110414_blog

 Petits détails du haut : 

Les bretelles sont allaitement-compatibles (c’était l’autre critère de la robe avec les basques-dissimulatrices-du-pti-bidou-post-accouchement), elle sont fixées à l’avant par des petits boutons. Je me suis d’ailleurs arraché les cheveux (c’est pourquoi vous ne verrez pas ma tête) avec la fixation de ses bretelles. J’ai commencé par des agrafes, puis par des pressions puis de nouveau des agrafes mises dans l’autre sens, rien n’y faisait, la robe se décollait des bretelles, on voyait le système de fixation, c’était moche. Puis j’ai eu une révélation, des boutons ! Simple comme bonjour mais il fallait y penser.

Alors elle vous plaît ? Moi je l’aime bien. J’ai eu peur de ne pas pouvoir profiter pleinement du dîner de mariage (me goinfrer quoi), elle est quand même vachement serrée (chose dont on ne s’aperçoit qu’une fois la fermeture éclair cousue), mais que nenni, les basques ont bien fait leur boulot. Merci les basques ! (encore une phrase bizarre sortie de son contexte).

 

Et puis y’avait des choses pour accompagner cette robe, donc vous allez la revoir très vite (“youpi !”)